Kimishi
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Kimishi

Une île refuge ou lycan, vampire et humains cohabitent
 
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 Marila de Coudray [Fiche Acceptée]

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Marila de Coudray

Marila de Coudray


Nombre de messages : 10
Date d'inscription : 23/06/2007

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MessageSujet: Marila de Coudray [Fiche Acceptée]   Marila de Coudray [Fiche Acceptée] Icon_minitimeSam 30 Juin - 19:23

NOM: de Coudray
PRENOM: Marila
AGE: 5200 ans

++++++++++

HISTOIRE DE VOTRE VIE:
Marila, de son vrai nom Parvani qui signifie pleine lune, est née dans une petite île au Sud de l’Inde, son enfance fut bercée par les senteurs tropicales et chaudes du continent que le vent déposait sur les îles. Elle n’a pas eu une enfance particulière, elle ressemblait à toute les petites filles de son âge, Parvani était noyé dans la masse de ses frères et ses sœurs. Son père était unis à cinq femmes et par conséquent, avait eu une trentaine d’enfant avant elle, et elle passa tout à fait inaperçue. Petite fille, elle s’aventurait sans crainte dans la jungle environnante à son village, Parvani avait appris être silencieuse au point de se faire oublier des animaux. Elle avait une fascination pour le monde animale particulièrement pour les félins, son père lui avait offert un de ses petits félins venus des pays plus à l’Ouest, l’un de ses oncles et certains de ses frères lui en avait déjà parlé pour y avoir été.

En dehors de la culture indienne, sa famille relativement aisée possédait un bateau et faisait du commerce avec les îles alentours ainsi que le continent indien. Il arrivait même que certains membres masculins de sa famille aient l’occasion de voyager vers l’Ouest, il y avait là bas des pays où la chaleur était étouffante et le paysage aussi désertique que les royaumes du Nord de l’Inde. Elle aimait bien resté avec ses frères et sœurs du même âge à écouter les histoires folklorique venues d’ailleurs particulièrement celles qui parlaient d’animaux. Plus elle grandissait et plus c’était une chose qui la passionnait, bien entendu les félins devenait de plus en plus gros et de plus en plus nombreux, ils étaient comme une cour autours d’elle, chaque fois qu’elle se déplaçait.

Parvani agissait toujours avec l’insouciance d’une enfant malgré les multiples transformations que tout corps de femme connaissait quand elle atteignait un certain âge. Elle faisait attention à ses tenues vestimentaires mais peut être pas autant que ses sœurs qu’elle se contentait de copier avec assiduité. A l’âge de ses premières humeurs de femme, elle fut séparée de ses plus jeunes frères et sœurs et ne vécut plus qu’avec ses sœurs les plus âgés. Parvani se souciait peu des jeunes garçons qui venaient voir son père même s’ils semblaient être plus nombreux à prononcer son nom, cependant ce fut sans surprise qu’elle reçut l’annonce de sa future union à l’âge treize ans avec un jeune homme qui avait à peine trois ans de plus qu’elle. Bien entendu, elle ne comprenait pas tout ce que cela pouvait comporter comme contrainte et la première arriva avec la nuit de son union quand elle se retrouva seule avec ce garçon qu’elle ne connaissait pas vraiment si ce n’est que pour lui avoir adressé la parole une ou deux fois dans la journée pour échanger des banalités.

Sa cour féline l’avait bien entendu suivit dans la pièce qui leur avait été réservé, Parvani fit le tour de la pièce effleurant chaque meuble de bois travaillé. Il n’y avait pas grand-chose dans la pièce, si ce n’est un lit semblable à celui disposé dans la chambre de son père, à ce quelque détail près que les ornements représentaient des corps entrelacés dans des positions parfois absurdes. Il y avait aussi des tableaux sculptés en bois avec le même genre de représentation, et une petite table sur laquelle était posé une bassine avec de l’eau et des fleurs jaunes et rouges. Ses longs doigts fins effleurèrent la surface de l’eau puis elle tendit légèrement sa main à la panthère que son frère lui avait ramené des îles voisines. Quand elle se tourna vers son époux, celui-ci était nu et son membre était dressé comme sur les représentations sculpturales qui recouvraient chaque chose qui agrémentait cette pièce. Parvani fut un peu choqué de la façon dont il la regardait en touchant cette partie de son corps, elle était curieuse et même temps ne pouvait se résoudre à le regarder directement.
Elle se mit à caresser la tête du gros félin à ses cotés et de temps à autre elle jetait un coup d’œil sur le jeune homme, il se comportait d’une étrange façon. Elle avait du mal à se souvenir de son nom, elle l’avait vu plusieurs fois pourtant mais c’était la première fois qu’elle le regardait vraiment. Cependant, Parvani ne pouvait se résoudre d’approcher de lui et elle n’eut pas à le faire, Ekram, c’était son nom, était venu à elle. Sans un mot et en posant les mains sur ses hanches, il remonta en lentement en la caressant jusqu’à la broche qui retenait son vêtement. Elle le retint de justesse avant qu’il ne dévoile les formes déjà généreuses de son corps de jeune fille, mais son époux écarta ses mains sans aucune douceur. Son cœur fit un bond et son rythme cardiaque augmenta aussitôt elle ne s’attendait pas ça, à vrai dire elle ne s’attendait pas à grand-chose.
Il ne lui laissa pas le temps de réagir et il l’entraina sur le lit où il lui arracha le reste de ses vêtements jusqu’à ce qu’elle se retrouve nue, les félins s’étaient levé et celui qu’elle caressait un peu plus tôt, hérissait déjà le poil. Parvani se débattait avec une certaine violence en serrant les dents, elle n’aimait qu’on la force à quoi que ce soit et elle ne comprenait pas bien ce qu’il voulait jusqu’à ce qu’il enfonce ses doigts dans son intimité. Elle ne put retenir un hoquet de surprise qui ne fit qu’encouragé les mouvements du jeune homme et alors qu’elle essayait de le repousser à nouveau il la gifla d’un revers de la main et annonça qu’il était plus que temps. Ekram avait repris cette chose énorme qu’il avait entre les jambes et la caressa par de petits mouvements de va et viens bien plus doux qu’il ne l’était avec elle, le jeune homme s’était allongé à moitié sur elle pour s’assurer qu’elle ne bougerait pas de là et cela fonctionnait, elle avait beau s’agité il resta là et bientôt elle sentit son membre pointer à l’entrée de son orifice. Il entra d’un seul coup sans la moindre délicatesse, arrachant un cri de douleur atroce à la jeune fille, ce viol aurait été très vite oublié si le félin n’avait bondit sur l’agresseur à peine le premier son sorti de la bouche de Parvani. Il était entré au plus profond d’elle-même et était ressorti presque aussitôt avec le poids de la bête qui s’était jeté sur lui, le félin avait sauté à la gorge d’Ekram, enfonçant ses longs crocs dans l’artère principale et lui arrachant une bonne partie de la chair en se relevant. Parvani ne savait pas s’il fallait se sentir soulagée ou inquiète, elle n’était pas sure de la réaction que pouvait avoir ses proches, ceux-ci n’avaient pas été alerté par le cri qu’elle avait poussé. Les bruits de la fête, les rires, la musique et les bardages bruyants, tout couvraient ce qui pouvait se passer dans cette chambre.
Les félins s’étaient réuni autours d’elle alors qu’elle s’était enroulé dans les draps ensanglantés par la violence dont avait pu faire preuve son défunt époux et elle finit par s’endormir dans cet atmosphère un peu étrange.

Parvani s’éveilla juste avant l’aube, elle jeta un œil sur le cadavre rigide qui gisait dans une marre de sang et étrangement se rendit compte qu’elle ne ressentait rien, pas de culpabilité, ni de peur, elle était presque satisfaite du sort auquel il avait eu droit. Elle se leva et sorti de la pièce enroulée dans le drap qu’elle attacha autours de son cou, toujours suivi de sa cour, il n’y avait plus personne dehors seulement une vieille femme assise sur un banc non loin de la maison d’où elle sortait. Elle la regarda un instant et se demanda si elle avait entendu son cri hier soir, la jeune fille ne s’attarda pas plus longtemps sur la question et alla directement dans la forêt vers une petite crique qu’elle fréquentait régulièrement. Là bas elle dénoua le drap et entra lentement dans l’eau, elle avait mal mais elle ne supportait pas de sentir le sang séché à cette endroit de son corps.

Elle se lava soigneusement puis se mit à nager avant de ressortir sur l’autre rive où elle s’allongea sur l’herbe en prenant une grande bouffée d’air, elle ferma les yeux et se mit à somnoler en sentant le soleil venir caresser sa peau au fur et à mesure qu’il se levait. Parvani sursauta en sentant une main fraîche se poser sur son cou, elle ouvrit les yeux aussitôt et vit une femme aux yeux intensément verts se tenir au dessus d’elle, elle ne l’avait jamais vu avant. Sans qu’elle lui fasse peur pour autant, Parvani la regarda droit dans les yeux pendant un moment avant de baisser son regard sur son corps, elle était nue également. La main descendit le long de son corps, caressant ses seins, son ventre, son intimité encore douloureuse, Parvani lâcha un gémissement de douleur. La femme retira sa main aussitôt, elle descendit sa tête jusqu’à son entre jambe et lui fit écarter les cuisses, puis se mit à lécher comme un petit chat qui laperait un bol d’eau. C’était léger, doux et agréable, Parvani avait un peu l’impression que la femme cherchait à guérir ses blessures, sa langue entrait en elle de temps à autre provoquant une chaleur exquise au creux de son ventre. Sa respiration était devenue haletante sans qu’elle s’en rende compte jusqu’à ce qu’elle pousse un gémissement bruyant qui eut pour effet de mettre debout la panthère rester sur l’autre rive, elle était prête à traverser la crique mais la femme releva la tête et pendant une seconde Parvani eut l’impression qu’elle le défiait ou même qu’elle lui commandait parce que le félin se rallongea.

Ce qui ne fut pas le cas de la femme qui ne retourna pas à son activité, celle-ci se leva et commença à s’éloigner d’elle, Parvani se releva pour se retrouver assise. La femme se retourna et lui tendit la main, elle jeta un œil en direction de la cité puis sur les félins puis finalement elle se leva et prit la main de la femme pour la suivre jusque ce qui sembla être son domaine. Parvani n’était jamais aussi loin de chez elle et au fur et à mesure qu’elle marchait dans la forêt, elle s’était rendu compte qu’elle ne connaissait finalement pas grand-chose du monde qui l’entourait. La femme s’appelait Enid, elle n’était évidemment pas originaire de cette île ni même de ce coin du monde, Parvani se demandait si elle venait de ses pays dont lui parlait les hommes de sa famille. Pour une raison étrange elle ne se soucia pas de rentrer chez elle, et puis au bout d’un certain temps elle finit par se dire qu’il devait la croire en fuite, elle aurait du partir de toute façon. Le meurtre était puni par l’exil et elle ne doutait pas que sa panthère aurait été tuée avant cela et elle ne l’aurait jamais accepté, à présent ils étaient tous auprès d’Enid.

Elle venait d’encore plus loin que ce que Parvani pensait, Enid lui promit de lui faire visiter son pays un jour. Parvani était impatiente de se mettre à voyager, après tout chez elle, seuls les hommes étaient autorisés à voyager. Enid se montrait tendre et câline mais en même temps elle faisait preuve d’une autorité sans faille, elle avait parfois des idées étranges comme l’attacher pendant qu’elle lui faisait éprouver du bien. Parvani avait même l’impression que cela devenait de plus en plus dur quand elle y réfléchissait mais le miroitement du voyage suffisait à la soumettre aux désirs de son mentor, cependant par moment elle disparaissait sans un mot, sans explication. Pendant longtemps, la jeune fille ne se posa pas de question sur les activités d’Enid, trois jours dans le mois ce n’était pas grand-chose après tout pourtant plus elle passait du temps avec elle, plus les années passaient et plus elle s’y attachait mais par conséquent comme avec tout ce qui l’intéressait, elle voulait tout savoir et donc elle commença à se poser des questions.

Quand Parvani atteignit l’âge de vingt quatre ans, Enid s’était montré d’une générosité sans faille mais avait dévoilé aussi un coté bien plus sombre, elle avait fait des tatouages sur le corps de Parvani tout au long de ses années, elle disait que c’était un plus bel ornement et avait fini par en convaincre Parvani. Elle était à parvenu à un âge satisfaisant selon Enid, quand elle la regardait elle voyait une magnifique jeune femme et elle voulait qu’il en soit toujours ainsi, Parvani n’imaginait pas à quel point cette phrase pouvait être lourde de sens. Un soir, Enid vint la rejoindre dans sa chambre comme elle le faisait le souvent, elle vit à nouveau dans son regard ce commandement pour les félins qu’elle avait utilisé à leur première rencontre. Elles se retrouvèrent seules comme cela leur arrivait par moment, mais il y avait quelque chose de différent cette fois là, la nuit était tombée et Enid avait les yeux particulièrement vert presque lumineux, elle avait quelque chose d’envoutant.
Enid s’approcha d’elle et commença à l’embrasser, fouillant sa bouche de sa langue comme elle si elle voulait lui donnait du plaisir de la même façon qu’elle le faisait pour d’autre partie de son corps. C’était délicieux, sensuel, Parvani adorait cela, cette façon de descendre dans son cou, de lui lécher légèrement la peau avant de… mordre. Elle aurait voulu hurler de douleur mais Enid posa une patte velue sur sa bouche, la jeune fille était horrifié de ce qu’elle voyait, comment cette chose avait pu être à un moment ou un autre celle qui s’était occupée d’elle, qui avait d’elle le centre du monde alors qu’elle était noyée dans un océan de frères et sœurs. Son cœur battait encore plus vite que le jour où on l’avait uni à son défunt époux, Enid lâcha le cou de la jeune fille qui suffoquait, Parvani avait l’impression de mourir. Le monstre qui était encore sur le lit près d’elle ne ressemblait à rien de ce qu’elle connaissait comme animal, il semblait assoiffé de sang de chair comme s’il ne s’était pas nourri depuis des mois. Elle n’osait pas bouger de peur qu’il ne lui saute dessus et ne l’achève pour la dévorer, c’est sans doute ce qui la sauva cette nuit là. Pour une raison inconnue et qui lui parut étrange ce soir là, le monstre sortie de la chambre et la laissa ainsi, seulement sa vie changea plus vite qu’elle ne le pensait.
Elle voulait du changement et Enid venait de lui en donner, ce soir là elle tomba inanimée et lorsqu’elle se réveilla le lendemain, elle avait l’impression qu’il s’agissait d’un rêve. Enid n’était pas là comme chaque fois à cette période de chaque mois, il y avait cependant une marque de morsure sur son cou et du sang sur les draps mais elle avait du mal à remettre en ordre ses idées et les évènements de la nuit précédente. Et puis elle avait trop faim pour réussir à penser à autre chose, Parvani n’avait jamais eu faim comme cela, elle aurait dévoré n’importe quoi, d’ailleurs elle mit le garde manger sans dessus dessous, à tel point qu’elle se mit à manger la viande sans même la faire cuire. C’était bon mais insuffisant, elle se sentait affamée, assoiffée mais ce même jour, une douleur vint lui transpercer le corps, elle oublia presque cette faim qui la tenaillait tant son corps la faisait souffrir. Elle avait l’impression que ses cotes se déplaçaient que les os de ses doigts changeaient de forme, de densité, c’était atroce.
Elle ne ferma pas l’œil de la nuit, les douleurs ne s’étaient pas calmées mais la faim non plus et bientôt elle fut plus forte que n’importe quoi d’autre, Parvani se leva donc de là où elle se trouvait et sortit suivit de sa cour féline. La jeune femme ne garda pas de souvenir de cette nuit là, elle se souvient juste de s’être éveillée sans plus aucune douleur, sans plus avoir faim mais sans Enid non plus. Celle-ci était encore dans la forêt, nue comme au premier jour de leur rencontre, allongée sur la mousse verte, endormie sans se soucier de l’aigle criard qui lui dévorait le reste de son abdomen éventré.
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Marila de Coudray

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MessageSujet: Re: Marila de Coudray [Fiche Acceptée]   Marila de Coudray [Fiche Acceptée] Icon_minitimeSam 30 Juin - 19:24

Parvani comprit assez rapidement que son état enragé était dû à la morsure qu’Enid lui avait faite, mais il lui manquait beaucoup d’élément de réponse comme par exemple le fait qu’elle ne ressemble pas à cette bête horrible mais à un félin, et tant d’autre chose encore. Lorsqu’au bout de quelques temps, Enid ne revenait toujours pas, Parvani se dit qu’il était temps pour elle de voyager. Son mentor le lui avait toujours promis et finalement n’en avait rien fait. Elle commença par l’Asie qui était évidemment ce qu’il y avait de plus proche d’elle, laissant nombre de cadavre sur son passage. Au début elle ne comprenait pas ce qui arrivait mais petit à petit elle commença à se rendre compte que c’était elle mais comme pour tout ce qui s’était passé avant cela, elle l’accepta avec facilité sans plus se poser de question. Au fil des années, elle se décida à changer de nom quand elle s’installait dans un pays un peu trop longtemps histoire de ne pas trop éveillé les soupçons. Sans pour autant comprendre qu’elle était immortelle, au départ du moins, elle vivait comme si c’était le cas et commença à se libérer réellement et à prendre de l’assurance.

Puis les années passèrent, puis les siècles et même les millénaires, Parvani avançait en regardant les mortels avancer comme elle aurait pu regarder des fourmis le faire. Mais une chose ne changea pas sa passion pour les félins et elle garda sa manie de s’en en entourer perpétuellement, et passait pour une femme un peu extravagante qui fascinait particulièrement les occidentaux. Elle a passé le siècle dernier en Europe sous le nom de Marila de Coudray, au fil des siècles elle avait réussi à se faire une fortune conséquente, et s’était offert les faveurs des différentes églises et religion en place pour éviter les problèmes. Mais à l’aube d’un nouveau siècle, Marila a besoin de changer d’air et quoi de mieux qu’une île dans le pacifique près des cotes asiatiques, juste qu’elle ne s’attendait pas à se retrouver au milieu d’une guerre avec des vampires. Jusqu’à présent elle n’en avait pas rencontré beaucoup et la plupart lui ressemblait dans leur façon de penser, mais ceux là était particulièrement virulent et encore plus vieux qu’elle et il en était de même avec ceux de sa race. Elle se demanda un bref instant en les rencontrant si Enid n’était pas de ceux là mais elle mit très vite cette idée de coté et s’en désintéressa totalement, les origines de tout cela ne l’intéressait pas le moins du monde. Mais il semblait que les lycans de cette île ne pouvaient s’empêcher de tenir leur langue et elle eut droit à leur histoire une bonne demi douzaine de fois.

A l’heure d’aujourd’hui, Marila se transforme régulièrement son pouvoir s’étant amplifié avec le temps elle contrôle sa transformation et le fait à volonté la nuit venue. Il subsiste trois jour dans le mois qui échappe à son contrôle mais qu’importe ce n’est rien après tout face à toutes les possibilités qui lui sont offerte. C’est sous sa forme de panthère, qu’elle va se promener le long du récif de corail, il y avait toujours des choses intéressantes dans ce coin là.

++++++++++

DESCRIPTION PHYSIQUE:
Marila est une personne dont on peut dire qu’elle a des formes généreuses, on ne peut pas dire que la nature ait été cruelle avec elle de ce coté là. Ses longs cheveux noirs corbeaux encadrent parfaitement son visage, tombent avec souplesse sur sa poitrine et descendent jusqu’à sa taille fine. Ses yeux légèrement bridés ne sont généralement que souligné d’un fin trait noir. Elle est souvent vêtue de tenues légères faite pour accentuer ses formes et les mettre en avant, Marila porte peu de bijoux ou d’ornement. Elle garde cependant quelques larges bracelets et bijoux pour ses cheveux de l’époque de sa naissance, elle part du principe que les tatouages sur son corps suffisent à la parer.

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE:
Marila est quelqu’un de très froid, elle l’a toujours été finalement, elle ne s’attache à personne réellement. La part de cruauté en elle est quasi indétectable, elle faisait preuve d’une infinie douceur avec tout ce qui l’entourait mais est capable des pires cruautés avec un sang froid exceptionnel, cependant lors de ses rapports sexuels elle a gardé les habitudes d’Enid. Finalement, elle a fini par y prendre goût.

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ARMES: /

LANGUES PARLEES:
Elle parle excellemment la plupart des dialectes asiatiques ainsi que l’hindi et l’anglais, l’espagnol et le français, elle trouve les autres langues superflues au final.

ANIMAL EN LEQUEL VOUS VOUS TRANSFORMEZ: Panthère
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